Les vitrines proposent une scénographie.
S’y superposent les reflets de la rue : autant d’incitations à la « re-création ». J’y insère, grâce à la peinture, d’autres plans, d’autres acteurs, d’autres intentions vers un autre récit.
Récit qui peut d’ailleurs, pour celui qui regardera la toile, venir résonner en écho avec son propre imaginaire.
Et c’est bien là le but.